
Métamorphose de la Une du Mag de Libération consacrée à Pierre Soulages
d'après une photo de Christophe Maout.
Samedi 17 octobre 2009
Le blog-note d'Eric Meyer ou les aventures quotidiennes d'un peintre en Fatrasie.
Voici l'affiche du prochain Festival d'Art Postal de Vienne organisé par l'association "Une Vie Un Arbre" qui se tie...
tu es plus sage que moi Eric, tu offres à Soulage la couleur contre laquelle il résiste. C'est fou toutes ces barrières et ces résistances qu'il construit pour fuir le présent, toute cette énergie qu'il met à repousser la vie et l'humain dans ses oeuvres. Comme Buren, Lévêque et tant d'autres. C'est toi qui a raison continuons à nous émerveiller du monde et à lui offrir nos couleurs.
RépondreSupprimerVous avez tous les deux raisons ,je dirai simplement vive la couleur,et vive la vie!!
RépondreSupprimerLe noir, c'est la couleur sans les risques. Je préfère être du côté de toutes les couleurs!
RépondreSupprimerComme un JEDI je ne rejoindrai pas le côté obscur!!
RépondreSupprimerPierre Soulages n'est pas le peintre du noir... il est celui de la lumière... et allez voir son oeuvre gravée à Strasbourg...
RépondreSupprimerPierre Soulages n'est pas que le peintre du noir en effet, mais presque. Le noir n'empêche pas la lumière, mais je ne suis pas sûr que ce soit le meilleur moyen de l'atteindre. Si l'occasion m'est donnée de passer par Strasbourg avant la fin de son exposition, j'irais peut-être la voir, pour me convaincre du contraire, merci de la suggestion.
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