
Je songe au feutre noir et mon humeur est telle que je pourrais me laisser posséder, obséder, absorber par une immensité de papier blanc, immaculée, sur laquelle je disposerais mes formes, carrés, graines, points, sans fin, une oeuvre, une vie, comme un artiste brut...

Mon boulot pour le Puls'Art s'achève tout doucement, le site web est à jour, la tension aura complètement disparue quand tout sera revenu de chez l'imprimeur. Ça brûle aussi du côté de la porte d'Aubervilliers...

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire